C'est le travail à temps partiel qui a constitué l'essentiel du développement de la main-d'oeuvre féminine dans les années 90, en particulier dans cinq États membres (France, Pays-Bas, Belgique, Irlande et Danemark), même si ce phénomène est sensiblement moins important dans les États du sud.
In den 90er Jahren beruhte die Zunahme der Frauenarbeit vor allem in fünf Mitgliedstaaten (Frankreich, Niederlande, Belgien, Irland und Dänemark) weitgehend auf Teilzeitarbeit, obwohl diese in den südlichen Ländern nicht so stark verbreitet ist.