Cependant, plusieurs parties prenantes ont laissé entendre que, malgré le dispositif de protection juridique actuel, les allégations écologiques ne sont toujours pas utilisées de manière responsable et qu’elles sont souvent très générales, vagues et mal définies[92]. Les associations de consommateurs[93] affirment qu’il est en outre difficile de vérifier la véracité de telles allégations, notamment dans les domaines de l’énergie, des produits cosmétiques, de l’automobile et des produits d’entretien.
Eine Reihe von Interessenträgern gibt jedoch zu Bedenken, dass trotz der derzeitigen Schutzregelung Umweltangaben nach wie vor unverantwortlich verwendet werden und oft sehr allgemein, vage und ungenau formuliert sind.[92] Verbraucherschutzverbände[93] weisen darauf hin, dass es zudem schwer ist, den Wahrheitsgehalt dieser Aussagen zu überprüfen, insbesondere im Energie-, Kosmetik-, Fahrzeug- und Waschmittelsektor.