« L'article 68 de la loi du 26 décembre 2013 concernant l'introduction d'un statut unique entre ouvriers et employés en ce qui concerne les délais de préavis et le jour de carence ainsi que de mesures d'accompagnement, interprété en ce sens que, pour les employés supérieurs, il ne peut être tenu compte d'une convention préalable valable relativement au délai de préavis à respecter par l'employeur et ce délai de préavis convenu est remplacé par le forfait d'un mois par année d'ancienneté entamée, viole-t-il les articles 10 et 11 de la Constitution en ce que :
« Verstößt Artikel 68 des Gesetzes vom 26. Dezember 2013 über die Einführung eines Einheitsstatuts für Arbeiter und Angestellte, was Kündigungsfristen und Karenztag betrifft, und von Begleitmaßnahmen, dahin ausgelegt, dass für die höheren Angestellten eine gültige, vorherige Vereinbarung über die vom Arbeitgeber einzuhaltende Kündigungsfrist nicht berücksichtigt werden kann und diese vereinbarte Kündigungsfrist durch eine Pauschalfrist von einem Monat pro begonnenes Jahr Dienstalter ersetzt wird, gegen die Artikel 10 und 11 der Verfassung, indem