[...] Si à la fin de la peine, il apparaît qu'en raison de son trouble mental le condamné risque de constituer une menace grave pour la vie ou l'intégrité d'autrui, le directeur en informe le procureur du Roi, lequel peut demander au juge de paix l'application de la loi du 26 juin 1990 relative à la protection de la personne des malades mentaux » (Doc. parl., Sénat, 2013-2014, n° 5-2001/2, pp. 57-58).
[...] [...] Wenn sich am Ende der Strafe herausstellt, dass der Verurteilte infolge seiner Geistesstörung eine ernsthafte Bedrohung für das Leben oder die Unversehrtheit anderer Menschen darstellt, meldet der Direktor dies dem Prokurator des Königs, der bei dem Friedensrichter die Anwendung des Gesetzes vom 26. Juni 1990 über den Schutz der Person des Geisteskranken beantragen kann » (ebenda, SS. 57-58).