Dans la seconde communication des griefs, la Commission estime à titre préliminaire qu'entre 2009 et 2011, Qualcomm aurait déployé une stratégie de prix d'éviction en vendant certaines quantités de chipsets de bande de base à des prix inférieurs aux coûts, en vue d'entraver la concurrence sur le marché.
In der zweiten Mitteilung der Beschwerdepunkte vertritt die Kommission die vorläufige Auffassung, dass Qualcomm zwischen 2009 und 2011 bestimmte Basisband‑Chipsätze unter dem Herstellungspreis zu Verdrängungspreisen verkaufte, um den Wettbewerb auf dem Markt zu behindern.