D. considérant que les études ont montré que les personnes handicapées étaient exposées à un risque accru d'obésité, dû entre autres à des mutations pathophysiologiques du métabolisme et de la composition du corps, à l'atrophie musculaire et à l'inactivité physique,
D. in der Erwägung, dass Studien zufolge Menschen mit Behinderungen nachweislich ein höheres Risiko haben, an Adipositas zu erkranken, die auf eine Reihe von Faktoren einschließlich pathophysiologischer Veränderungen des Energiestoffwechsels und der körperlichen Verfassung, Muskelatrophie und physische Inaktivität zurückzuführen ist,