C'est dès lors à bon droit que le législateur a estimé que l'assistance obligatoire d'un avocat était justifiée « par la situation dans laquelle se trouve l'intéressé et par le fait qu'aucun appel n'est possible (uniquement un pourvoi en cassation) » (Doc. parl., Sénat, 2012-2013, n° 5-2001/1, p. 56) et qu'il a prévu, à l'article 13, § 3, alinéa 2, et à l'article 81 de la loi de 2014 sur l'internement, que les juridictions ne peuvent statuer sur les demandes d'internement que si les intéressés sont assistés ou représentés par un conseil.
Der Gesetzgeber hat daher zu Recht den Standpunkt vertreten, dass die verpflichtende Unterstützung durch einen Rechtsanwalt gerechtfertigt ist « angesichts des Zustandes, in dem sich der Betreffende befindet, und unter Berücksichtigung des Umstandes, dass keine Berufung (nur Kassation) möglich ist » (Parl. Dok., Senat, 2012-2013, Nr. 5-2001/1, S. 56), und in Artikel 13 § 3 Absatz 2 sowie in Artikel 81 des Internierungsgesetzes 2014 festgelegt, dass die Rechtsprechungsorgane nur über Anträge auf Internierung entscheiden können, wenn die Betreffenden durch einen Beistand unterstützt oder vertreten werden.