Pour ce qui est des 90 % restants, ils sont livrés soit à l’abandon, soit, pour leur plus grande part, à la violation et à la construction illicite, au service d’intérêts économiques (par exemple, des entreprises touristiques qui sont, selon la règle, toujours du côté du gouvernement au pouvoir) qui tirent avantage des incendies - ou, peut-être, en sont responsables -, de l’insoluble problème de la propriété, de l’absence de cadastre forestier et d’inventaire du patrimoine forestier de l’État, en vue d’accroître leur profit.
Die restlichen 90 % werden entweder ihrem Schicksal überlassen oder größtenteils von wirtschaftlichen Interessengruppen (z. B. Fremdenverkehrsunternehmen, die in der Regel von der jeweiligen Regierung bevorzugt werden) zu Unrecht in Besitz genommen und illegal bebaut, die die Brände – die sie vielleicht sogar selbst gelegt haben – und das bislang ungelöste Eigentumsproblem, also das Fehlen eines Grundbuchs für Forstflächen sowie die bisher nicht erfolgte Registrierung des Forstvermögens der öffentlichen Hand, nutzen, um ihre Gewinne zu steigern.