Peut-être, Madame la Baronne Ashton, y pensiez-vous lorsque vous avez indiqué que «la région arctique est radicalement différente de la région antarctique». Toutefois, même en rejetant l’idée d’un moratoire, il convient de répondre (concrètement, et non pas avec de belles paroles) à la question de savoir comment protéger efficacement les domaines particulièrement délicats au titre du principe de précaution.
Vielleicht hatten Sie das ja auch im Hinterkopf, Frau Ashton, als Sie sagten „In der Arktis ist es ganz anders als in der Antarktis“. Aber selbst wenn man das ablehnt, muss man die Frage beantworten – und zwar praktisch und nicht nur lyrisch –, wie man die besonders empfindlichen Gebiete in dieser Region nach dem Vorsorgeprinzip wirksam schützt.