Si les chantiers de l'UE ont encore un "sursis" grâce à leurs carnets de commandes relativement fournis (bien que la situation varie fortement d'un chantier à l'autre) et à la tenue plus faible de l'euro par rapport au dollar américain, la plupart des chantiers japonais connaissent, pour leur part, une situation dans laquelle les carnets de commandes se vident et où le rythme d'entrée des nouvelles commandes est insuffisant pour maintenir la production à son niveau antérieur.
Während die EU-Werften wegen der vergleichsweise guten Auftragslage (allerdings ist diese nicht bei allen Werften gleich) und des geringeren Werts des Euro im Vergleich zum US-Dollar noch ,Luft" haben, stehen die japanischen Werften vor nahezu leeren Auftragsbüchern, und es kommen nicht genügend Neuaufträge herein, um die Produktion auf dem alten Stand zu halten.