Enfin, la partie requérante soutient que la Commission a commis d'autres erreurs de droit en déclarant TW responsable pour la période allant de 1982 à 1988; en infligeant à TW une amende disproportionnée, excessive et excédant le plafond des 10 % du chiffre d'affaires; et en ne permettant pas à la partie requérante, en tant que partie responsable secondaire, de bénéficier de l'indulgence dont a bénéficié la partie responsable principale, TW, ou, tout au moins, en n'accordant pas à la partie requérante une réduction indépendante des amendes, conformément à la communication sur la coopération.
Schließlich habe die Kommission dadurch weitere Rechtsfehler begangen, dass sie TW für den Zeitraum von 1982 bis 1988 eine Verantwortung zugewiesen habe, dass sie gegen TW eine Geldbuße verhängt habe, die unverhältnismäßig hoch sei und die Grenze von 10 % des Umsatzes überschreite, und dass sie der Klägerin als in zweiter Linie Verantwortlicher nicht die der in erster Linie Verantwortlichen, TW, gewährte niedrigere Festsetzung habe zugute kommen lassen oder wenigstens eine unabhängige Herabsetzung der Geldbuße nach der Kronzeugenregelung zugestanden habe.