Même maintenant, dans ce climat de crise qu’ils ont engendré, ils s’obstinent à nationaliser les préjudices pour pouvoir ensuite privatiser les bénéfices, tandis que les travailleurs, les micro-entreprises, les petites entreprises, les retraités et les chômeurs subissent les conséquences de la crise, en ne récoltant, dans le meilleur des cas, que quelques miettes.
Selbst jetzt, in der Krisensituation, die sie verursacht haben, verstaatlichen sie die Schäden, um dann die Gewinne zu privatisieren, während die Arbeiter, Kleinst- und Kleinunternehmer, Rentner und Arbeitslosen die Folgen der Krise zu tragen haben, im besten Fall mit Anrecht auf nur ein paar Krümel.